Depuis l’obtention du Prix littéraire «Apulée», décerné en 2008 par la Bibliothèque nationale d’Alger, que dirigeait Amin Zaoui, Mohammed Attaf n’a pas cessé d’écrire et de publier de nouveaux livres.
Le roman, intitulé «La reine de l’Atlantide», vient de paraître chez la très dynamique maison d’édition Tafat, dirigée par un autre écrivain Tarik Djerroud. Contrairement à ses précédents romans et autres recueils de nouvelles comme «La sainte» ou «L’arbre de la chance», cette fois-ci, Mohammed Attaf s’est complètement éloigné de ses thèmes favoris et qui étaient directement inspirés de la réalité vécue dans sa propre société et dans sa région. Mohammed Attaf a décidé d’explorer d’autres sujets et d’autres espaces dans ce nouveau roman. De quoi s’agit-il au juste? Il y a d’abord ce raz-de-marée qui a tout englouti. Il a détruit, en une seule journée et une seule nuit, l’Atlantide, le continent des hommes bleus, le pays d’Âm Îm et Tiftifawt qui avaient laissé leurs empreintes dans la mémoire collective des peuples qui avaient suivi leur voie. Si Âm Îm a légué aux générations futures un recueil de poèmes et de textes poétiques ainsi qu’une dizaine de missives, on ne cesse de découvrir, à ce jour, les traces des chefs-d’oeuvre réalisés par Tiftifawt parmi les gravures rupestres du Tassili N’Ajjer. Fruit d’un imaginaire fécond, le roman de Mohammed Attaf, «La reine de l’Atlantide», propose une immersion dans les profondeurs de l’histoire et de la mémoire des peuples, comme pour en sauver un trésor d’amour légendaire, vécu il y a plusieurs siècles: «surgissant avec douceur, grâce à une grande découverte qui livra le Bien, le Vrai et le Beau d’un continent merveilleux qu’est l’Atlantide, que la plume inimitable de l’auteur, débordante de symboles, rend savoureuse et sensuelle».
Source: L’Expression.
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