L’histoire d’amour a été très belle et s’est terminée de la plus belle des manières par une double joie, celle de l’indépendance et des retrouvailles.
Le roman débute dans la pure tradition romanesque algérienne. On croirait lire, l’une des oeuvres littéraires des années 50, avec ses descriptions minutieuses et la bonté d’âme de l’auteur qui nous fait découvrir des personnages dans la complexité de l’âme humaine. Nous sommes dans la Mitidja entre Blida et Boufarik, une dizaine d’années avant le début de la Guerre de Libération nationale. L’auteur nous prend par la main et nous balade dans le Boufarik colonial. On y découvre un quadruple meurtre affreux, un gendarme dans la pure tradition pied-noir, un colon vorace et assassin, une jeune fille frêle et amoureuse… Mais aussi une tempête foudroyante annonciatrice d’un événement historique majeur. Le décor planté, les protagonistes identifiés, l’on entre à pas feutrés dans une fresque de la révolution d’indépendance.
Source: l’expression.
La ville de Constantine, se prépare à accueillir la cinquième édition des « Journées Nationales du Court-Métrage » du 11 au 13 décembre 2024, sous le thème ...
Fort du succès de son dernier film Héliopolis, consacré aux massacres du 8 mai 1945 à Guelma, Sétif et Kherrata, Djaffar Gacem se lance dans ...
Saâda Arbane, survivante d’un massacre familial pendant la décennie noire, a révélé que l’écrivain Kamel Daoud s’est inspiré de son histoire personnelle pour écrire son ...