Une femme revient à Alger pour y écrire un livre. Renouant avec son passé sur un mode hallucinatoire et fantasmatique, elle se perd au milieu de personnages fabriqués de toutes pièces. Un prétexte tout trouvé pour mettre en scène la ville de tous les envoûtements, ses monstres, ses chimères, ses amours. Alger et son extraordinaire vitalité poétique à l’épreuve du temps. L’héroïne c’est elle, la sublime. Ce roman revisite des mythes dispersés et réinvente le conte des origines, jouant avec la fiction et les fragments mémoriels, tout en explorant la fascination des langues au prisme d’un imaginaire de l’exil, cette « crânerie ».
Keltoum Staali, est née et a grandi en France dans les années 60. Après des études de lettres modernes à l’Université d’Aix en Provence, elle s’installe à Alger à la fin des années 80 et travaille comme journaliste à Révolution Africaine, puis à Alger Républicain. Revenue en France au début des années 90, elle collabore avec Le Matin, El Watan, Esprit Bavard, Raina, Recherches Internationales, tout en animant une bibliothèque de quartier. Elle publie des recueils de poésie (Talisman, Identité Majeure), un récit autobiographique (Le Mimosa de Décembre), un roman (Cœur noir), et participe à des ouvrages collectifs. Actuellement, elle est professeure de lettres dans un collège du sud de la France, elle anime des ateliers d’écriture créative, tout en menant une recherche en théorie et pratique de la création littéraire et artistique dans le cadre d’un doctorat à l’Université d’Aix-Marseill
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