« Dans le cadre de la démarche des pouvoirs publics, à leur tête le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, consistant à faire de l’Université algérienne la locomotive d’un véritable développement en tirant profit des conclusions de la formation, du développement technologique et de l’innovation et un véritable acteur dans la prise de décision économique et la conduite de la société vers davantage de progrès et de prospérité dans la consécration de cette volonté politique et la création des richesses et de poste d’emploi, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique œuvre à accompagner les pouvoirs publics dans la l’atteinte de ces objectifs suprêmes à travers la proposition de plusieurs mécanismes, à leur tête le mécanisme de diplôme de start-up et de diplôme de brevet », a précisé le communiqué.
« Afin d’appuyer et d’élargir ce genre d’initiatives, et suite aux instructions du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamed Baddari, une correspondance a été adressée aux directeurs des établissement de l’Enseignement supérieur, et à la Direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique pour faire le nécessaire en vue d’instaurer ces mécanismes à travers le soutien et l’accompagnement des étudiants à partir de leur première année universitaire en les sensibilisant à ces mécanismes tout en valorisant tous les travaux et projets réalisés par les étudiants au cours de leur cursus de formation et vue de soutenir les résultats de leurs travaux de recherche », a ajouté la même source.
Le ministère a relevé « l’impératif de généraliser l’expérience du diplôme de start-up ou le diplôme de brevet, d’une part, et l’incitation à la concurrence et l’excellence d’une autre part »‘.
« Ce mécanisme permettra à l’étudiant qui obtient une moyenne excellente durant son cursus de formation et finit son projet de recherche par une soutenance du mémoire de fin d’études avec brio de bénéficier d’une autorisation de création de sa propre société pour qu’il puisse commercialiser son produit ou lui donner la possibilité d’inscrire ses travaux auprès d’autres organes spécialisés dans l’immatriculation et la protection de la propriété intellectuelle en vue de créer sa propre société ou la négociation pour céder ses travaux à un tiers pour que la société tire profit de son produit », conclut le communiqué.
APS.