L’installation de phares non conformes sur les véhicules est une pratique illégale en plein essor sur les routes algériennes. Couleurs inhabituelles, intensités éblouissantes et bricolages dangereux, ces modifications enfreignent les normes en vigueur et compromettent la sécurité des usagers.
Dans un communiqué publié récemment sur la page Facebook « Tariki », la Gendarmerie nationale a tiré la sonnette d’alarme, rappelant aux conducteurs les risques associés à cette tendance ainsi que leurs obligations en matière de phares automobiles. Elle a également mis en garde contre les sanctions encourues par les contrevenants.
Selon la législation en vigueur, l’équipement d’éclairage des véhicules doit respecter des normes strictes. L’article 135, alinéa 1, du décret exécutif 04-381 stipule que les véhicules doivent être équipés de deux feux à l’avant émettant une lumière blanche ou jaune, permettant une visibilité claire à 150 mètres en temps clair. L’utilisation d’éclairages rouges, violets ou de phares éblouissants est strictement interdite, sauf pour indiquer un changement de direction.
Le non-respect de ces normes expose les conducteurs à des sanctions sévères, telles qu’une amende d’au moins 2000 DA et l’immobilisation du véhicule jusqu’à sa mise en conformité. Ces règles sont essentielles pour garantir la sécurité routière et éviter les risques d’accidents dus à une visibilité insuffisante ou à des éblouissements.
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