Plus de 42 projets d’équipements débloqué aux nouveaux pôles urbains de Misserghine et Oued Tlelat

Dans le cadre de la relance de l’investissement،et suite aux directives du président de la République ,le wali d’Oran Saïd Sayouda viens de débloquer 42 projets de réalisation d’équipement publics aux nouveaux pôles urbains de Misserghine et Oued Tlelat (Oran), a-t-on appris, avant hier, auprès de la direction locale des équipements publics. Parallèlement aux opérations de distribution de logements des différentes formules aux pôles en question, prises en charge par l’Agence nationale de l’amélioration et du développement du logement (AADL) et l’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI), 42 projets de réalisation d’équipements publics ont été enregistrés, dans le cadre de l’aménagement des nouveaux groupements d’habitations, afin d’améliorer le cadre de vie des habitants. Dans ce contexte, 31 projets ont été inscrits pour la réalisation d’équipements publics au nouveau pôle urbain « Chahid Ahmed Zabana » dans la commune de Misserghine. Les travaux de sept groupes scolaires ont été achevés, tandis que d’autres opérations de réalisation de deux lycées, de deux CEM, d’une polyclinique et du siège d’une sûreté urbaine ont été lancées, a-t-on fait savoir. La même direction a accéléré, dernièremen t, la préparation des études concernant le reste des opérations enregistrées dans le cadre du programme 2021, a indiqué la même source, ajoutant que les entreprises chargées de la réalisation des projets ont été désignées pour entamer les travaux. Au nouveau pôle urbain d’Oued Tlelat, douze projets ont été enregistrés et concernent la réalisation d’équipements publics, dont 11 ont été achevés. Il s’agit de cinq groupes scolaires, de cinq CEM et d’un siège de la brigade d’intervention de la gendarmerie nationale.Ces projets, notamment dans l’industrie agroalimentaire, devraient aboutir, selon le Chef de l’exécutif, à la création de centaines de postes d’emplo,confiant et optimiste quant à l’avenir de la situation économique, Saïd Sayouda «Je pense que nous sortons de la pandémie (…) notre économie retrouve sa vitalité jour après jour» a-t-il déclaré.Pour rappel, par le Président de la République et le Premier ministre, vont dans le sens de la facilitation de l’activité économique : «L’enjeu est aujourd’hui d’accélérer le rythme des investissements et de lever les obstacles (…) Nous sommes tous d’accord pour dire qu’il y a d’énormes possibilités.Il est à souligner que plus de 500 projets seront, prochainement libérés par la nouvelle approche de l’investissement, qu’il s’agit «de projets répartis sur tout le territoire (…) et concernent entre autres l’industrie agroalimentaire, l’électroménager ou encore les travaux publics et la construction». Cela aura un impact important du fait du nombre de projets, de postes d’emploi, mais aussi du «du montant global de l’investissement estimé à 900 milliards de dinars».

Ainsi, il apparaît, selon les déclarations du Directeur général de la gestion du secteur public, que l’objectif du secteur de l’industrie est aujourd’hui de passer du discours aux actes sur le terrain. Il est en ce sens annoncé qu’«un grand nombre de projets devront être accompagnés» notamment en «levant les obstacles bureaucratiques au niveau local et central (…) C’est ce qu’a demandé le Président de la République». Et dans cette logique de «facilitation entre les lignes, et sans plus d’explications, que la «mentalité» des investisseurs évolue vers plus de réactivité : «Les investisseurs doivent également lever les obstacles (…) dont ils ont parfois été la cause». Par ailleurs, il est à souligner de certaines explications quant au projet de «guichet unique», qui devra carrément prendre «la place» de l’Agence nationale de promotion des investissements, avec pour mission «d’étudier toutes les demandes d’accompagnement et d’encouragement à l’investissement».

Quant à l’impact «sur le terrain» que pourraient avoir sur la relance industrielle, avait déclare : «Oui, presque tous les objectifs sont remplis», en tenant notamment pour preuve à réunir «tous les acteurs du cercle économique, que ce soit des professeurs universitaires, des directeurs d’entreprise, des experts pour la réussite totale de l’investissement publics.

MH