Plusieurs indicateurs abondent dans ce sens, dans la mesure ou la victoire des poulains de Belmadi en terre égyptienne, coïncidait avec une situation politique instable en Algérie, liée en premier lieu au Hirak venu sauver le pays du diktat d’El Issaba, et se heurtant à des tentatives de récupération politicienne par des groupuscules inféodés aux agendas étrangers, représentés par le MAK et l’organisation terroriste de Rachad, née sur la dépouille du FIS dissous à l’origine de la décennie qui avait fait 200 mille victimes en Algérie.
La victoire footballistique algérienne , œuvre d’être sélectionneur devenu le ministre du bonheur en Algérie, d’un staff technique , administratif et médical et surtout de joueurs dévoués à la cause algérienne, ouvrit la voie à un énorme espoir chez la jeunesse Algérienne, désireuse de vivre dans la dignité et le bien-être loin du désespoir instrumentalisé par des politicards qui font des malheurs du peuple Algérien, un fonds de commerce politique pour présenter leurs créances d’allégeance aux officines étrangères hostiles à l’Algérie.
Réussissant le pari de faire sortir l’Algérie de son coma sportif, imposé par une improvisation de casting et de copinage, devise d’El issaba, Djamel Belmadi devient malgré lui un ennemi, des projets de déstabilisation et de conspirations contre l’Algérie.Il réussira en compagnie de son équipe à tirer son épingle du jeu, pour mettre hors d’état de nuire les embûches dressées sur son chemin , comme l’état de la pelouse du stade du chahid Mustapha Tchaker, ou la campagne de déstabilisation menée par certains journalistes et médias, pour le contraindre à démissionner et quitter le navire Algérie.
Le complot franco-marocain
Ayant réussi à vaincre relativement le danger interne, grâce à une mobilisation populaire en sa faveur, Djamel Belmadi sera contraint de faire face au jeu de coulisses du Maroc mené par le président de la fédération royale marocaine Fawzi Lakdjaa, artisan de la manipulation des burkinabés pour déstabiliser l’équipe Algérienne, lors du match aller, joué au stade de Marrakech, en usant de subterfuges extra-sportifs, suivi d’un tapage médiatique au sujet du déroulement de la rencontre Djibouti-Algérie, tenue finalement au stade du Caire en Egypte, puis du choix de l’arbitre pour diriger le match Algérie-Burkina Faso, officié finalement par le sud-africain, Victor Gomes, s’ajoutant aux provocations des burkinabés, qui réussiront légèrement à déconcentrer les verts, mais échouèrent dans leur tentative d’éliminer les verts chez-eux et d’arrêter leur série de 33 matches sans défaites, faisant de l’Algérie l’une des grandes nations footballistiques du ghota mondial.
Pour ce qui est de l’implication de la France, il faut citer les médias Le Parisien et le Figaro, qui tentèrent bien que mal de ternir l’image de l’Algérie à travers des Fakenews à la limite de l’absurdité. Le Parisien véhiculera la Fakenews sur l’arbitre sud-africain Victor Gomes, que Djamel Belmadi encensera, pour ses prestations mondiales de haut niveau. Le Parisien annoncera quelques jours avant le match décisif de Blida entre l’Algérie et le Burkina Faso, que les responsables algériens avaient refusé la désignation de l’arbitre sud-africain, qui aurait selon le média français dénoncé il y a quelques années, une tentative de le soudoyer par un club algérien en lice dans une compétition continentale. Pour ce qui du Figaro, il diffusera la fakenews, selon laquelle les joueurs burkinabés ont été contraints de changer en dehors des vestiaires du stade Mustapha Tchaker, qui seraient dans un « état lamentables « que les images et caméras présentes au stade démentiront
Mainmise du Maroc sur la CAF
Les éléments cités par nos soins sont confirmés ce jeudi, par le journaliste français d’investigation Romain Molina. Ce dernier évoque l’influence hégémonique de Faouzi Lakjaâ, président de la Fédération marocaine de football (FRMF), sur la Confédération africaine de football (CAF).« Le Maroc peut faire ce qu’il veut, ils ont une influence énorme à la CAF ! », a-t-il souligné
Rachad en embuscade
La sérénité de Djamel Belmadi a réussi à déjouer tous les complots concoctés par les officines hostiles à l’Algérie, et qui n’arrivent pas à digérer l’épanouissement de l’équipe d’Algérie, et devra se mesurer à un ennemi du peuple appelé Rachad, organisation terroriste, dont l’un des fondateurs vient de diffuser une vidéo pleine de mensonge, annonçant une éventuelle élimination physique de Belmadi par les services algériens. Est-ce logique d’éliminer celui qui vient de faire naître l’espoir chez la jeunesse algérienne, tuée par Rachad et l’obscurantisme des Zitout &co ?
Bien sur que non puisque la réussite de l’équipe nationale et Djamel Belmadi abonde dans le sens de la stabilité du pays et de son émergence sur le plan international via le football, sport roi de la planète. Il est certain que le succès de Belmadi casse la spirale de l’endoctrinement du désespoir au sein de la jeunesse algérienne, au même titre que Cheb Hasni, qui representait le sursaut de cette jeunesse, assassiné en 1994 par l’organisation du FIDA, de Mourad Dhina le partenaire de Larbi Zitout dans son entreprise terroriste. En conclusion, le « Qui Tue Qui » à connotation sportive prônée par la nébuleuse terroriste ne pourra jamais aboutir, dans une nouvelle Algérie déterminée et décidée plus que jamais à retrouver son standing malgré le complot franco-maroco-sioniste, dont l’exécutant n’est autre que la nébuleuse terroriste de Rachad.
Algérie 54
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