Toutes les chancelleries au monde tentent d’analyser qui des démocrates ou des républicains remporteront les élections de mi-mandat demain aux USA. Il s’agit pourtant d’élections partielles et à caractère national mais les enjeux sont internationaux, du fait que les deux camps ont des positions diamétralement opposées, tant sur le plan de la politique domestique que sur celle internationale. En outre, il se joue un autre combat politique interne sournois, du fait qu’une victoire significative des républicains pourrait se traduire par un retour possible de D. Trump à la tête du parti républicain et donc de prétendre à se présenter, une nouvelle fois, aux élections présidentielles de 2024, avec un nouveau slogan révélateur « Save America ».
Ces deux enjeux, bien que séparés apparemment, sont cependant liés, dans la mesure où, les courants politiques qui s’opposent aux USA, sont incarnés par des personnalités identifiées et une rhétorique maintenue vivante, qui consiste à dire que le parti démocrate a « volé » au parti républicain, les élections présidentielles de 2020, malgré toutes les évidences apportées par les différents organes de contrôle et de certification de la probité de ces élections ! En effet, le pouvoir législatif américain est très puissant même s’il s’agit d’un système présidentiel, puisque la majorité au Congrès et à la Chambre des représentants, peut influencer voire contraindre le Président américain dans ses décisions politiques intérieures et extérieures et notamment lors du vote du budget fédéral. Sans majorité au sein de ces deux instances, le Président américain, sera obligé de tenir compte des positions du parti républicain et de trouver des compromis lourds dans tous les volets de sa politique, ce qui réduit considérablement la mise en œuvre de ses engagements politiques durant son mandat.
En matière de politique extérieure, cette situation peut se traduire par des changements majeurs dans la conduite des politiques mises en œuvre par les USA dans le monde entier. Cette situation s’est vérifiée lors de l’élection de D. Trump, dans différents dossiers internationaux sensibles (le climat, les dépenses de l’OTAN, les interventions militaires, le commerce, l’émigration, les relations avec la Chine et la Russie…), avec son slogan explosif « America first », qui a imprimé une ancienne doctrine renouvelée de repli sur soi-même. C’est donc avec inquiétude que tous les pays au monde suivent cette élection à mi-mandat, qui peut faire basculer la politique étrangère américaine, dans l’incertitude et notamment dans le conflit ukrainien où les démocrates ont subventionné cette guerre avec quelque 50 milliards d’US$, jusqu’à présent. Si on ajoute à cela, la préparation des élections présidentielles de 2024 et le retour éventuel de D. Trump, ce qui n’est pas évident compte des oppositions internes à son parti, qu’il suscite, il est donc légitime
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