Les accords d’Evian devaient conclure de longues négociations entre les deux pays, qui devaient permettre un « passage en douceur » du pouvoir entre la France et l’Algérie, pour enfin accéder à l’indépendance. Rien ne s’est passé comme prévu, dans les accords, puisque la création de l’OAS (organisation de l’armée secrète) par un « quarteron de généraux en retraite » factieux (Salan, Zeller, Jouhaud, Challe) allait mettre le pays à feu et à sang, dans le cadre de la politique dite de la « terre brûlée » et de la « valise ou le cercueil ». Ces accords de 1968 sont pourtant en retrait par rapport à ceux d »Evian en matière de privilèges accordés aux ressortissants algériens. En outre, cet accord de 1968 a été révisé en 1985, puis en 1994 et enfin en 2001 à fois en retrait des accords originels, ce qui le rend compatible avec les différentes législations françaises et européennes, à quelques dérogations prêtes.
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