Moussa ag Amastan blessé dans son amour-propre et fou de douleur, décida de partir très loin de l’Ahaggar. Il chevaucha jour et nuit, ne s’arrêtant que pour nourrir et faire reposer sa monture.
Il traversa seul le pays de la soif et de la faim.(…) Il longea le fleuve Dioliba et alla encore plus loin, là où il n’avait jamais encore mis les pieds. Mais plus il s’éloignait, plus il mettait de distance entre toi et lui, plus les sons mélancoliques et envoûtants de ton imzad parvenaient à ses oreilles, plus le miel de tes lèvres se déposait sur les siennes. Terrassé par la douleur, il cria son désespoir à la face du soleil mais le soleil lui brûla la bouche. Il se tourna alors vers le vent en se disant que lui seul pourrait le débarrasser de sa peine et l’emporter au loin, mais le vent lui cingla le visage. Il ne lui l’enfouir au plus profond de leurs entrailles, mais le fils des montagnes, l’infatigable écho répétait sans cesse: Dâssine, Dâssine,…
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