L’algérien Sonatrach, l’italien Eni, l’américain Occidental Petroleum et le français Total viennent de signer ce 19 juillet un contrat de « partage de production » pétrolière et gazière d’un montant de quatre milliards de dollars concernant un site du sud-est algérien. Le groupe énergétique français remet donc pied en Algérie après avoir été rejeté en mai 2020 lors d’un rachat d’actifs algériens au profit de l’Américain Occidental.
Ce contrat d’une durée de 25 ans porte sur l’exploitation des gisements gaziers et pétroliers du bassin de Berkine. En annonçant lors d’un sommet avec le Premier ministre italien, Mario Draghi, « cet important accord d’un montant de quatre milliards de dollars », le président algérien, Abdelmadjid Tebboune avait souligné, qu’il « permettra de fournir l’Italie en quantités importantes de gaz ».
L’accord vise à récupérer « plus d’un milliard de barils équivalents pétrole d’hydrocarbures, ce qui augmentera le taux moyen de récupération ultime à 55% », a indiqué la société d’exploitation algérienne Sonatrach dans un communiqué.
L’objectif est de « développer des ressources supplémentaires d’hydrocarbures liquides tout en réduisant l’intensité carbone des champs grâce à un programme ciblé de baisse des émissions », note Total, dans un communiqué séparé.
AFP.
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