Plus que jamais les pays membres du groupe des BRICS, vont devoir surmonter leur divergences stratégiques entre ceux qui le conçoivent comme un instrument de « confrontation » avec les pays occidentaux comme la Russie et la Chine surtout après le conflit ukrainien et ceux qui considèrent qui vient en « complémentarité » de l’ordre économique et politique mondial, comme l’Inde et le Brésil. Ces contradictions internes vont certainement se renforcer si le nombre des pays membres s’élargit à d’autres pays (23 prétendants à l’adhésion) comme il est inscrit dans l’ordre du jour de ce 15ème sommet. L’Algérie quant à elle, devrait renforcer le camp de la complémentarité, pour consolider sa position diplomatique permanente, qui consiste à rejeter toutes les confrontations et toujours privilégier le dialogue et la concertation dans les relations internationales, en lieu et place de la confrontation et de l’utilisation de la force.
C’est par une simple lettre, envoyée par le président français Emmanuel Macron au roi du Maroc Mohamed VI et rendue public par la partie marocaine, ...
Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune a présidé, ce jeudi, une réunion préparatoire consacrée aux grandes orientations relatives au projet de loi de finances ...
En marge de sa participation à la conférence mondiale sur l’énergie « Gastech » à Houston, aux États-Unis, le PDG de Sonatrach, Rachid Hachichi, a rencontré une ...