Doit-on s’étonner du fait que les premières livraisons de véhicules Fiat fassent l’objet de spéculation, qui selon certaines sources atteindraient une marge de 1.000.000 de DA l’unité ? Certainement pas, comme toutes marchandises soumises à une rareté relative. Les gestionnaires marketing de cette marque auraient dû anticiper cette situation temporaire et prendre les mesures adéquates pour enrayer cette spéculation temporaire. Les moyens existent divers et nombreux (constitution d’un stock minimum avant la vente, vente unitaire par patronyme, banques de données clientèle…) pour minimiser le phénomène. En effet, après plus de trois ans d’interruption d’importation de véhicules et une demande insatisfaite de plusieurs centaines de milliers de véhicules, il ne pouvait en être autrement. La marge spéculative n’est que l’expression de la distorsion offre demande, qui va s’estomper dans le temps au fur et à mesure, que la production importation va diminuer.
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