Après la fermeture du corridor maritime céréalier avec tous les risques qui pèsent sur le marché international de blé, la décision de l’Inde le 20 juillet dernier de suspendre les exportations de riz non basmati est venue perturber davantage le marché des matières premières alimentaires.
Ce sont en effet deux denrées de base fortement consommées dans de nombreux pays dépendant des importations qui sont aujourd’hui objet de tensions. Des tensions qui ne sont pas sans conséquences sur les prix. Et ce d’autant que les conditions climatiques ne sont pas favorables à l’amélioration de la production avec le stress hydrique, les inondations et les vagues de chaleur dans les régions où sont concentrées ces cultures. Aussi, si la production de riz a été supérieure à la moyenne l’année dernière, les prix se sont maintenus à un niveau relativement élevé.
Source: El Watan.
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