L’histoire des USA nous enseigne que c’est le pays qui a enregistré le plus d’assassinats et de tentatives d’assassinats, de présidents au monde ! Doit-on tous les citer ? D’Abraham Lincoln à R. Reagan en passant par les Kennedy, c’est une dizaine de Présidents ou de prétendants à la présidence, qui ont fait l’objet d’un acte ou de tentative d’assassinat depuis la création de ce pays.
A chaque fois, le spectre du complot intérieur ou étranger est évoqué et les enquêtes n’arrivent pas à aboutir à des conclusions probantes sur les motivations, les exécutants et leurs commanditaires de ces assassinats malgré les efforts déployés. Cette situation provient du fait qu’à vouloir trouver ailleurs ce qui est interne aux mœurs politiques du pays, ces enquêtes finissent toujours en « queue de poisson ».
Présentés comme le « temple de la démocratie », les USA ne peuvent se résoudre à passer pour le « temple de la violence » et notamment politique et d’arriver à la conclusion que cette violence est forcément exogène à ce système vertueux où la liberté est son mythe fondateur, y compris celui de posséder une arme sans condition !
Construits sur une constitution amendée où le système judiciaire élu, représente sa colonne vertébrale, les USA se présentent comme un pays modèle pour toutes les autres nations, avec comme image d’Epinal « le rêve américain » que tout citoyen peut réaliser.
On n’ose même pas imaginer ce qui aurait pu arriver si le candidat D. Trump avait succombé à cet attentat ? Dans l’état insurrectionnel actuel que vit le pays, sa mort aurait déclenché des émeutes sanglantes dont nul ne peut en évaluer les conséquences, ce qui pourraient aller jusqu’à la sécession de certains états de l’union et notamment ceux du Sud. Chacun va devoir tirer partie de cet attentat et le premier est certainement D. Trump qui va jouer à fond la carte de la victimisation.
En pleine campagne électorale féroce, ce dernier va attiser les foules et stigmatiser son concurrent, même s’il n’ira pas jusqu’à l’accuser d’être le commanditaire direct. Et ce n’est pas le coup de téléphone que J. Biden lui a donné, pour s’enquérir de sa santé, qui changera grand-chose. L’enquête diligentée ne portera ses fruits que bien après les élections, d’autant que l’assassin a été tué, ce qui compliquera davantage sa résolution. Après ses lapsus et ses bourdes, J. Biden sera la véritable victime de cet attentat.
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