Sergueï Lavrov, le ministre des affaires étrangères russe, a conclu, mardi 7 février, une « visite d’amitié et de travail » d’une journée à Bamako, au Mali, dont chaque partie ne semble avoir que des raisons de se satisfaire. Effectué dans le cadre d’une tournée sur le continent africain qui l’a mené d’abord en Afrique du Sud, au Eswatini (ex-Swaziland), en Angola et en Erythrée, ce premier voyage d’un chef de la diplomatie russe au Mali, en dépit de la longue tradition de coopération entre les deux pays (notamment sous la présidence de Modibo Keïta, de 1960 à 1968), avait une valeur symbolique particulière. Bamako est en effet depuis un peu plus d’un an le point le plus incandescent de la présence russe en Afrique.
M. Lavrov a promis au Mali la poursuite du soutien militaire matérialisé depuis fin 2021 par des livraisons d’armements et l’envoi de centaines d’hommes, décrits en fonction des sources comme des instructeurs de l’armée russe ou des mercenaires de Wagner, un groupe de sécurité privé aux agissements décriés.
AFP.
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