Un encadrement juridique pour les influenceurs.

Les débats ont été relancés en Algérie à propos des stars des réseaux sociaux « accusées de fraude », après la condamnation de trois influenceurs, jeudi 16 juin, à un an de prison ferme chacun et une amende de 100 000 DA dans une affaires d’arnaque contre des étudiants qui avait défrayé la chronique ( l’affaire Future Gate). Une condamnation pour avoir fait la promotion des services d’une agence, qui a arnaqué de nombreux étudiants algériens souhaitant effectuer des études à l’étranger, notamment en Russie, en Ukraine et en Turquie.
Ce genre de dossier est nouveau pour la justice qui ne sait pas comment traiter ce type d’affaire. Il y a beaucoup de flou: lorsque des influenceurs s’embarquent dans cette pratique virtuelle ont-ils une part de responsabilité?
Normalement oui, répond une partie des juristes, puisqu’ils s’adressent à un public et font de la publicité.
Quant ils font leur réclame, est-ce qu’ils signent des contrats ou suffit-il de créer un compte sur les réseaux sociaux et gagner de l’argents?
Il y a manifestement de la confusion, du flou et même ont peut dire qu’on est face à un vide juridique. La loi est insuffisamment adaptée pour traiter ce genre de situation, d’autant lus que le créneau de la publicité était réservé à des entités agréées qui paient des impôts.
Réveil D’Algérie.
L’Algérie accueillera, du 21 au 23 avril 2025, le Sommet ICT Africa, le plus grand rassemblement technologique du continent africain, au Palais des Expositions (Safex) ...
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a annoncé ce samedi 13 avril, l’achèvement de la conception de la première ...
Le ministre de la Poste et des Télécommunications, Sid Ali Zerrouki, a annoncé, ce mardi 8 avril, à Alger, le lancement des préparatifs pour le ...