La Cour d’Alger a annoncé ce lundi que 68 personnes ont été placées sous mandat de dépôt, tandis que trois autres ont été mises sous contrôle judiciaire dans le cadre de l’affaire de vente de parrainages par des élus à certains prétendants à la candidature pour la prochaine présidentielle.
Sur les 77 personnes auditionnées par le juge d’instruction, seulement six ont été remises en liberté après une enquête préliminaire approfondie menée par la Cour. Les personnes impliquées font face à des accusations de corruption, d’abus de fonction, de trafic d’influence et de mauvais usage de la fonction.
L’enquête préliminaire a révélé l’implication de trois prétendants à la candidature, ainsi que de plus de 50 élus qui ont reconnu avoir reçu des sommes allant de 20 000 à 30 000 dinars pour parrainer les candidats. Dix intermédiaires, chargés de collecter et de remettre les fonds aux élus, ont également été identifiés et auditionnés.
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