Le ministre français de l’intérieur a été dépêché en Algérie, pour une visite de travail de deux jours. Cette visite doit préparer celle du Président A. Tebboune à Paris qui devra se faire soit avant la fin de l’année 2023 soit début 2024. Les dossiers à étudier ne manquent pas, tant leur accumulation est importante d’autant que la crise au Moyen-Orient vient encore les alourdir. L Président A. Tebboune avait à plusieurs reprises affirmé que l’entente avec son homologue français était au beau fixe mais qu’il n’entendait pas faire une « visite touristique » en France. En d’autres termes, il souhaite voir la concrétisation d’un certain nombre de dossier en suspend et il n’en manque pas et notamment les dossiers sensibles comme le mémoriel, la protection de la communauté algérienne résidente en France et les accords de 1968, les visas, l’expulsion d’algériens condamnés pour des délits en France (OQTF), le devenir de la langue française, en Algérie, les volets économiques et enfin, les perspectives de coopération. Tous ces dossiers devront trouver des solutions partielles ou définitives, pour que cette visite, plusieurs fois reportée, soit couronnée de succès. Nul doute que les partis d’extrême droite et même de droit, vont tout entreprendre pour parasiter cette visite et l’erreur n’est pas permise des deux côtés.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt visant le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ancien ministre de ...
La Banque mondiale, dans son dernier rapport sur l’économie algérienne (Automne 2024), met en lumière le potentiel important du pays pour développer ses exportations hors ...
L’Algérie a appelé, lundi 18 novembre , la communauté internationale à respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale du Soudan, tout en exigeant une condamnation ferme ...