Visite du médiateur de la République Karim Younes à Oran
Pour la lutte contre la corruption, le népotisme et la bureaucratie
Poursuivant sa tournée dans les wilayas du pays, le médiateur de la république Karim Younes s’est rendu ce mardi soir à Oran , a été reçu par les autorités locales,et à leur tête le wali d’0ran Messaoud Djari en compagnie du président de l’APW le docteur Meliani Abdelkader et les autorités compétentes de la wilaya d’Oran.Le médiateur de la République a inauguré en premier lieu le nouveau siège de la délégation du médiateur de la République d’Oran au niveau de la cité Mellinium. Ensuite il s’est dirigé vers la salle de conférence de la mosquée Ibn Badis d’Oran où il a pris la parole, pour donner un large aperçu sur le rôle assigné au délégué local du médiateur de la République, dira à cet effet «le délégué est en somme, un facilitateur, un conciliateur, voire un réconciliateur, non un juge, ni un wali, et non seulement un avocat, mais un cadre désigné par le président de la République.Il est là pour engager tous ses efforts et toute sa compétence, afin de réduire le lourd fardeau des inégalités sociales que supportent durement le citoyen. Car, ce dernier est tellement dédaigné par l’administration et sa bureaucratie perfide qu’il arrive à penser qu’il ne sent plus dans son pays » Abordant les requêtes émises par des citoyens appartenant à différentes catégories sociales, et qui ont été reçues à son niveau depuis son installation, le médiateur de la République fera part d’un nombre qui avoisine les 5.000. Tout en précisant qu’après étude de ses réclamations, il en est résulté que 29 % des requêtes touchent le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire. « le respect du citoyen doit être un principe inaliénable qui commence par le respect des ses droits en toute transparence » articulera Karim Younes.Cependant, il annoncera qu’un rapport annuel sera transmis au président de la République et comportera les tourments vécus par des citoyens notamment dans les domaines de l’administration, de la santé, de l’économie, de l’éducation et d’autres préoccupations.
Il reviendra encore sur l’importance du citoyen qui est suivant sa conviction « la pierre angulaire de la nation, sans lui nous ne pouvons continuer ». S‘agissant de la délégation locale du médiateur de la République de la wilaya d’Oran, son représentant fera connaitre à l’assistance qu’il avait reçu un nombre important de requêtes émanant de citoyens et comprenant des tracas professionnels, sociaux, et économiques pour la plupart d’entre celles des demandeurs de logements et s’emploie et que 70% de ces requêtes ont été réglés. L’édification et la pérennisation de cette Algérie Nouvelle est liée à l’émergence et l’ancrage d’une société civile, qu’on appelle dans le jargon démocratique, un contre-pouvoir capable de porter à bras le corps les préoccupations citoyennes. Ainsi, il est primordial de souligner que les auto-désignés pour matérialiser l’émergence d’une société civile représentative pataugent dans les anciennes pratiques inféodées à El Isaba, et aux clichés stéréotypés d’une administration bureaucratique et corrompue, et subissent la résistance aux changements tant attendus.Le plan est clair, c’est-à-dire se préparer aux prochaines échéances électorales des prochains mois. La non- présence aujourd’hui de la nouvelle société civile qui profilait à l’horizon s’inscrit dans cette logique, c’est-à-dire maintenir la mainmise de certaines formations politiques sur cette société civile. Et cette donnée s’applique aussi aux délégations du médiateur de la république qui seraient noyautées par des partis politiques qui ne s’avèrent nullement vaincus et qui tentent bien que mal de retrouver une nouvelle virginité politique.Sur ce registre, il est important de souligner que le médiateur de la république Karim Younés ne cesse de mettre en garde le représentants locaux de son institution contre les tentatives de corruption et de chantage contre les citoyens et les tentatives de récupération partisane.“Une des missions du médiateur de la République et de lutter justement contre la corruption, le népotisme, la bureaucratie”, a-t-il dit ce mardi soir.“La médiature de la République est mise en place par le président de la République pour être l’intermédiaire entre le citoyens et l’Etat pour combattre les dysfonctionnements sociaux “, ajoute Karim Younes.Les délégués du médiateur de la république sont interpellés, pour accompagner le Président de la république et autres intervenants pour l’édification d’une nouvelle Algérie.
Medjadji H
Visite du médiateur de la République Karim Younes à Oran
Pour la lutte contre la corruption, le népotisme et la bureaucratie
Poursuivant sa tournée dans les wilayas du pays, le médiateur de la république Karim Younes s’est rendu ce mardi soir à Oran , a été reçu par les autorités locales,et à leur tête le wali d’0ran Messaoud Djari en compagnie du président de l’APW le docteur Meliani Abdelkader et les autorités compétentes de la wilaya d’Oran.Le médiateur de la République a inauguré en premier lieu le nouveau siège de la délégation du médiateur de la République d’Oran au niveau de la cité Mellinium. Ensuite il s’est dirigé vers la salle de conférence de la mosquée Ibn Badis d’Oran où il a pris la parole, pour donner un large aperçu sur le rôle assigné au délégué local du médiateur de la République, dira à cet effet «le délégué est en somme, un facilitateur, un conciliateur, voire un réconciliateur, non un juge, ni un wali, et non seulement un avocat, mais un cadre désigné par le président de la République.Il est là pour engager tous ses efforts et toute sa compétence, afin de réduire le lourd fardeau des inégalités sociales que supportent durement le citoyen. Car, ce dernier est tellement dédaigné par l’administration et sa bureaucratie perfide qu’il arrive à penser qu’il ne sent plus dans son pays » Abordant les requêtes émises par des citoyens appartenant à différentes catégories sociales, et qui ont été reçues à son niveau depuis son installation, le médiateur de la République fera part d’un nombre qui avoisine les 5.000. Tout en précisant qu’après étude de ses réclamations, il en est résulté que 29 % des requêtes touchent le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire. « le respect du citoyen doit être un principe inaliénable qui commence par le respect des ses droits en toute transparence » articulera Karim Younes.Cependant, il annoncera qu’un rapport annuel sera transmis au président de la République et comportera les tourments vécus par des citoyens notamment dans les domaines de l’administration, de la santé, de l’économie, de l’éducation et d’autres préoccupations.
Il reviendra encore sur l’importance du citoyen qui est suivant sa conviction « la pierre angulaire de la nation, sans lui nous ne pouvons continuer ». S‘agissant de la délégation locale du médiateur de la République de la wilaya d’Oran, son représentant fera connaitre à l’assistance qu’il avait reçu un nombre important de requêtes émanant de citoyens et comprenant des tracas professionnels, sociaux, et économiques pour la plupart d’entre celles des demandeurs de logements et s’emploie et que 70% de ces requêtes ont été réglés. L’édification et la pérennisation de cette Algérie Nouvelle est liée à l’émergence et l’ancrage d’une société civile, qu’on appelle dans le jargon démocratique, un contre-pouvoir capable de porter à bras le corps les préoccupations citoyennes. Ainsi, il est primordial de souligner que les auto-désignés pour matérialiser l’émergence d’une société civile représentative pataugent dans les anciennes pratiques inféodées à El Isaba, et aux clichés stéréotypés d’une administration bureaucratique et corrompue, et subissent la résistance aux changements tant attendus.Le plan est clair, c’est-à-dire se préparer aux prochaines échéances électorales des prochains mois. La non- présence aujourd’hui de la nouvelle société civile qui profilait à l’horizon s’inscrit dans cette logique, c’est-à-dire maintenir la mainmise de certaines formations politiques sur cette société civile. Et cette donnée s’applique aussi aux délégations du médiateur de la république qui seraient noyautées par des partis politiques qui ne s’avèrent nullement vaincus et qui tentent bien que mal de retrouver une nouvelle virginité politique.Sur ce registre, il est important de souligner que le médiateur de la république Karim Younés ne cesse de mettre en garde le représentants locaux de son institution contre les tentatives de corruption et de chantage contre les citoyens et les tentatives de récupération partisane.“Une des missions du médiateur de la République et de lutter justement contre la corruption, le népotisme, la bureaucratie”, a-t-il dit ce mardi soir.“La médiature de la République est mise en place par le président de la République pour être l’intermédiaire entre le citoyens et l’Etat pour combattre les dysfonctionnements sociaux “, ajoute Karim Younes.Les délégués du médiateur de la république sont interpellés, pour accompagner le Président de la république et autres intervenants pour l’édification d’une nouvelle Algérie.
Rafik
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