Le président de la République, Abdelmohid Tebboune, a souligné qu’il ne sera pas le premier à engager la réconciliation avec la France, et qu’il ne sera pas le premier à faire le premier pas, car c’est un problème national et non le problème du président de la La république.
Dans une interview au magazine allemand Der Spiegel, le président Tebboune a déclaré que le président français Emmanuel Macron avait franchi la ligne rouge en portant atteinte à la dignité des Algériens.
Le président de la République a jugé les propos de Macron très sérieux, en référence à l’existence de la nation algérienne avant le colonialisme français. « On ne touche pas à l’histoire d’un peuple, on n’humilie pas les Algériens. »
Dans une interview au magazine « Der Spiegel » le 26 octobre et publiée le vendredi 5 novembre 2021, le président a souligné les dommages collatéraux causés par ces propos, et leur impact sur l’avenir des relations entre la France et l’Algérie.
Le président Tebboune a souligné : « Je ne serai pas le premier à franchir le pas, sinon je perdrai tous les Algériens ».
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a déclaré que « M. Macron a porté atteinte à la dignité des Algériens ». , il a nié toute possibilité que la crise bilatérale se termine bientôt. ».
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