Faute d’intrants importés, l’industrie des boissons est paralysée.

Le PDG de Golden Drink Algérie, Amra Salim, connu pour ses Tazedj, Aqua fine et Fruix, affirme que l‘instabilité juridique sur le plan local et l’arrêt des importations sont un «grave problème qui risquent d’emporter avec eux toute la filière.»
La filière des boissons non alcoolisées en Algérie, autrefois la plus dynamique dans l’industrie agroalimentaire, est-elle en passe de connaître ses plus mauvais moments suite à la conjonction de plusieurs facteurs, tant internes qu’externes.
En effet, la hausse des prix des matières premières et du fret maritime, conjuguées à certaines restrictions liées aux importations, ont fait que plusieurs producteurs, notamment les plus vulnérables, ainsi que plusieurs distributeurs d’intrants tels les arômes mettent la clé sous le paillasson.
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