La marine américaine poursuit ses recherches pour récupérer les débris du ballon chinois abattu samedi 4 février, par un avion de combat au large des côtes de Caroline du Sud après avoir survolé pendant plusieurs jours les Etats-Unis.
Le général Glen VanHerck, commandant des forces américaines en Amérique du Nord, a précisé dimanche que la marine menait « des opérations de récupération, avec l’aide des garde-côtes américains pour sécuriser la zone et maintenir la sécurité publique ».
Le ballon a été abattu par un chasseur F-22 alors qu’il évoluait à 18 kilomètres d’altitude. Ses débris sont retombés à quelque 11 kilomètres de la côte, leur panache s’étendant sur environ 11 kilomètres également, en eaux relativement peu profondes.
Le Pentagone affirme qu’il s’agit d’un ballon espion « utilisé par la République populaire de Chine dans une tentative de surveiller des sites stratégiques » aux Etats-Unis. Pékin assure qu’il s’agissait d’un aéronef de surveillance météorologique ayant dévié de sa trajectoire.
Vendredi, l’armée de l’air colombienne a également déclaré avoir détecté un autre objet présentant « des caractéristiques similaires à celles d’un ballon ».
Cet objet a volé à une altitude de 17.000 mètres et à une vitesse moyenne de 46 km/h, a indiqué un communiqué de l’armée de l’air colombienne.
Le survol du territoire des Etats-Unis n’en finit pas de détériorer les relations sino-américaines. Il avait déjà provoqué la semaine dernière l’annulation à la dernière minute d’une visite à Pékin du chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, la première prévue à ce niveau depuis 2018.
AFP.
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