Le cours du pétrole est à la peine. Depuis deux mois, les prix des barils de référence WTI et Brent ont fondu de plus de 20%, à 93 et 98 dollars respectivement. Une chute rapide liée aux craintes relatives à l’impact d’une récession sur la demande d’or noir, alors qu’en face, l’offre est attendue relativement abondante. Pour autant, l’approvisionnement en pétrole en provenance de Russie est soumis à des aléas, comme l’ont montré cette semaine les perturbations sur les livraisons d’hydrocarbures russes dans quelques pays européens.
« Compte tenu de l’invasion prolongée de l’Ukraine, des sanctions imminentes de l’Union européenne sur les ventes de pétrole russe et de la militarisation des exportations de gaz naturel, il semble prématuré de parier sur une baisse continue des prix de l’énergie », avertit PVM Energy. Goldman Sachs va même plus loin, en anticipant que le prix du pétrole va complètement inverser la vapeur, pour reprendre plus de 30% d’ici fin décembre, avec un baril de référence Brent attendu à 130 dollars à cet horizon. En dépit de l’impact du ralentissement de la croissance économique sur la demande d’or noir, celle-ci devrait tout de même ressortir plus forte que prévu, selon le bureau d’études de la banque américaine, qui s’attend parallèlement à ce que l’offre reste à la peine et à une diminution des stocks.
Source: Capital
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