Banque Goldman Sachs : « les prix du pétrole vont connaitre une forte hausse en fin 2022 et début 2023, avec une prévision d’augmentation de 30% du prix du baril de Brent ».

Le cours du pétrole est à la peine. Depuis deux mois, les prix des barils de référence WTI et Brent ont fondu de plus de 20%, à 93 et 98 dollars respectivement. Une chute rapide liée aux craintes relatives à l’impact d’une récession sur la demande d’or noir, alors qu’en face, l’offre est attendue relativement abondante. Pour autant, l’approvisionnement en pétrole en provenance de Russie est soumis à des aléas, comme l’ont montré cette semaine les perturbations sur les livraisons d’hydrocarbures russes dans quelques pays européens.
« Compte tenu de l’invasion prolongée de l’Ukraine, des sanctions imminentes de l’Union européenne sur les ventes de pétrole russe et de la militarisation des exportations de gaz naturel, il semble prématuré de parier sur une baisse continue des prix de l’énergie », avertit PVM Energy. Goldman Sachs va même plus loin, en anticipant que le prix du pétrole va complètement inverser la vapeur, pour reprendre plus de 30% d’ici fin décembre, avec un baril de référence Brent attendu à 130 dollars à cet horizon. En dépit de l’impact du ralentissement de la croissance économique sur la demande d’or noir, celle-ci devrait tout de même ressortir plus forte que prévu, selon le bureau d’études de la banque américaine, qui s’attend parallèlement à ce que l’offre reste à la peine et à une diminution des stocks.
Source: Capital
Par une simple lettre du représentant de l’Association des Banques et Des Établissements Financiers (ABEF), ce dernier informe les banques commerciales, que le ministère du Commerce ...
L’Institut Algérien du Pétrole (IAP), filiale du groupe Sonatrach, a reçu le prix OPEP 2025 de la meilleure institution de recherche dans le domaine de ...
L’euro poursuit son ascension au Square Port-Saïd à Alger ce jeudi 10 juillet, confirmant la tendance observée ces derniers jours sur le marché parallèle. La ...