Au lendemain de l’assassinat de l’ancien premier ministre Shinzo Abe, atteint de deux balles dans le cou en plein meeting électoral à Nara, dans l’ouest du Japon, le chef de la police de la préfecture locale, Tomoaki Onizuka, a reconnu, samedi 9 juillet, qu’il était « indéniable qu’il y avait eu des problèmes avec les mesures de garde et de sécurité » de l’ancien premier ministre.
« Il est urgent que nous menions une enquête approfondie pour clarifier ce qui s’est passé », a-t-il ajouté, sans s’étendre sur les lacunes spécifiques du dispositif de sécurité de vendredi.
Les mesures de sécurité sont parfois peu strictes lors des meetings électoraux locaux au Japon, où les crimes violents sont rares et les lois sur les armes à feu très sévères. Le nombre de personnes tuées par balle y est extrêmement faible.
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