Hier, mardi, les fans de la chanson chaâbi algérienne ont commémoré, via les plateformes de médias sociaux, le 43e anniversaire de la mort de Hadj M’hamed El Anka, qui est considéré comme le père spirituel de la chanson chaâbi en Algérie, dont il a fait son marque distinctive, en posant des règles et des fondements sacrés.
Malgré le passage de près d’un demi-siècle depuis sa mort, Hadj M’hamed El-Anka jouit toujours d’une place essentielle dans les cahiers d’art populaire, notamment celui qui est né le 20 mai 1907 dans l’ancien quartier de la Casbah. est écrit en lettres d’or dans l’histoire de l’Algérie dans son ensemble.
L-I
La 14e édition du Festival culturel international de la miniature et de l’art de l’enluminure s’est ouverte au palais de la culture Abdelkrim Dali à ...
La ville de Constantine, se prépare à accueillir la cinquième édition des « Journées Nationales du Court-Métrage » du 11 au 13 décembre 2024, sous le thème ...
Fort du succès de son dernier film Héliopolis, consacré aux massacres du 8 mai 1945 à Guelma, Sétif et Kherrata, Djaffar Gacem se lance dans ...