La 27e Conférence des parties à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP 27) s’ouvrira, demain, à Charm-El-Cheikh, en Égypte. Ce sera la première fois que ce genre d’évènements aura lieu sur le continent africain et nul doute que le président égyptien Abdel Fatah al-Sissi et ses pairs africains présents auront à coeur de dire leurs mots à des pays industrialisés qui font la sourde oreille et se contentent de promesses sans lendemains. Prévue du 7 au 18 novembre, la 27e édition du changement climatique sera, en effet, une opportunité pour que les dirigeants africains se fassent entendre sur une terre arabe et africaine qui leur servira de tribune où seront exposées, sans détours, les priorités du continent. Ce n’est un secret pour personne que les grands pollueurs de la planète, responsables des dégâts dus aux gaz à effet de serre, sont les pays industrialisés, pour la plupart occidentaux. L’Afrique, quant à elle, n’émet que 4% du total mondial. Pourtant, elle est toujours marginalisée en tant que victime majeure du réchauffement et des effets annexes.
Source: L’Expression.
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