Les ultras veulent jouer les trouble-fêtes en choisissant José Gonzales, député du parti du Rassemblement national comme vice-président du groupe parlementaire d’amitié France-Algérie. Alors que les relations algéro-françaises sont en train de prendre une tournure positive sur la voie de la normalisation des rapports et le règlement des dossiers qui constituent le noeud gordien des malentendus qui concernent la question de la mémoire relevant de la période coloniale et ses retombées depuis 1830 à nos jours.
C’est très curieux de voir des personnages qui faisaient promouvoir l’anachronique démarche de l’Algérie française occuper des postes politiques dont le sens n’échappe pas à la manipulation de quelques cercles visant à polluer les rapports entre les deux pays sur des questions mémorielles et autres dossiers qui constituent le contentieux historique entre les deux pays.
Désigner José Gonzales au poste de vice-président du groupe parlementaire d’amitié France-Algérie en sachant les sympathies qu’il affiche pour l’Organisation armée secrète (OAS) qui s’opposait à la voie de l’autodétermination du peuple algérien pour son indépendance et le recouvrement de sa souveraineté.
Source: L’Expression.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt visant le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ancien ministre de ...
Le Représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations unies, Amar Bendjama, a exprimé son profond regret après l’échec du Conseil de sécurité à adopter un ...
L’Algérie a appelé, lundi 18 novembre , la communauté internationale à respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale du Soudan, tout en exigeant une condamnation ferme ...