Un des ténors trumpistes républicains, Jim Jordan, a été désigné vendredi candidat de son parti pour la présidence de la Chambre des représentants, mais une issue à la crise provoquée par la vacance de ce poste stratégique apparaissait encore lointaine.
La Chambre, contrôlée par les républicains contrairement au Sénat à majorité démocrate, est quasiment paralysée depuis la destitution surprise, le 3 octobre, de son «speaker» Kevin McCarthy, à la suite d’une fronde interne qui a mis à nu les fractures béantes du parti, à un an de la présidentielle de 2024. Les Etats-Unis ne sont actuellement pas en mesure de voter une quelconque nouvelle aide à Israël, allié historique engagé dans une guerre avec le Hamas palestinien.
Ni même une enveloppe supplémentaire pour l’Ukraine, en discussion depuis des semaines. Il s’agit du deuxième vote cette semaine au sein du groupe parlementaire républicain, déchiré entre élus modérés et trublions gravitant dans l’orbite de l’ex-président Donald Trump. Le précédent vote, mardi, avait été remporté de peu par Steve Scalise, chef de la majorité républicaine à la Chambre et élu de Louisiane (sud), face à Jim Jordan, président de la commission des Affaires judiciaires et élu de l’Ohio (centre) soutenu par Trump. Mais Steve Scalise a annoncé, jeudi soir, renoncer à sa candidature, faute de pouvoir rassembler suffisamment de voix pour se faire élire «speaker».
Source: El Watan.
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