Pour la seconde fois en deux ans, la nomination d’un diplomate algérien au poste d’émissaire des Nations unies pour la Libye a été bloquée.
La semaine dernière, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, après plusieurs tentatives vaines, a proposé aux quinze membres du Conseil de sécurité le nom de Sabri Boukadoum, ministre algérien des Affaires étrangères entre 2019 et 2021.
Lors d’une réunion tendue lundi du Conseil consacrée à la situation libyenne, certains pays comme le Ghana, l’Irlande ou la France ont une nouvelle fois réclamé que le poste, vacant depuis novembre, soit pourvu « dès que possible ».
AFP.