Dans une déclaration à l’APS en marge du 11e Congrès de la Société algérienne de médecine vasculaire, le spécialiste a affirmé que pour améliorer la prise en charge de la médecine vasculaire, les patients doivent pouvoir bénéficier des molécules innovantes dans le monde, insistant sur le remboursement des molécules disponibles en Algérie par la Caisse nationale des assurances sociales.
Parmi les molécules disponibles en Algérie, le spécialiste a déploré que trois médicaments princeps et cinq génériques d’anticoagulants ne soient pas remboursés par la CNAS alors qu’ils sont destinés au traitement de maladies chroniques.
APS.