Les premiers résultats de l’examen du BEM, viennent d’être publiés et ceux du BAC à mi-juillet. Que faut-il en tirer comme enseignement utile. En effet, le taux de 60,97% de réussite au BEM, peut donner deux interprétations celle d’un score acceptable ou l’inverse, en rapport avec les efforts budgétaires alloués au secteur en termes de personnel et d’infrastructures (écoles, collèges et lycées, cantines scolaires). Ceci nonobstant du problème du niveau de la formation et de sa répercutions sur l’université et de la demande d’emploi qui n’est pas toujours en adéquation avec m=les programmes pédagogiques enseignés.
En outre, le diplôme lui-même est contestable et contesté même dans les pays qui l’on mis en œuvre les premiers ( France) et qui sont revenus sur son bienfondé, en revenant aux contrôles fractionnés et ou continus. Enfin, des réformes de fond ont été introduites pour toujours faire en sorte que le produit soit très proche de la demande en personnel formé, ce qui n’est pas le cas dans notre pays, puisque les réformes mises en place ont davantage privilégiées le contenu pédagogique existant plutôt que de l’ouvrir à d’autres contenus en relation avec les métiers nouveaux et la demande de l’industrie et de l’administration.
Pour toutes ces raisons une réflexion profonde doit être initiée et notamment celle de savoir que faire des postulants qui ont échoué (soit 31%) qui devront soit réessayer soit trouver un autre créneau, sachant que les infrastructures en place ne sont pas toujours extensibles et que les autres contingents en classe inférieure doivent trouver des postes pédagogiques. En attendant les résultats du BAC, qui ne sauraient tarder et qui posent la même problématique à un niveau supérieur (entrée à l’université), les responsables du secteur doivent très rapidement se pencher sur les réformes profondes à introduire sur le moyen et long terme.
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