Après avoir enregistré trois séances consécutives de hausse (lundi, mardi et mercredi) il a échoué à en engranger une quatrième, jeudi, avant de se reprendre vendredi. Ce qui n’a cependant pas permis aux cours de l’or noir de glaner une hausse hebdomadaire conséquente. Un peu plus d’un dollar pour chacune des deux références. Le baril de Brent de la mer du Nord, référence du pétrole algérien pour livraison en juillet, a clos la semaine qui s’est achevée le 26 mai à 76,95 dollars. Soit 69 cents de plus que la veille. Son équivalent américain, le baril de West Texas intermediate (WTI) pour livraison en juin gagnait de son côté 0,84 dollar pour finir à 72,67 dollars. Ceci pour les chiffres. Ils montrent surtout que le baril n’a pas craqué. Son niveau actuel demeure globalement «satisfaisant» pour les pays producteurs, ceux de l’Opep+, l’Algérie notamment. Le Sahara Blend, pétrole algérien qui a engrangé un gain de 0,68 dollar valait 76,66 dollars, selon la dernière cotation du site spécialisé Oil price. Un prix qui représente pour le pays près de 17 dollars de plus que celui qui a servi de calcul à sa loi de finances, confectionnée sur la base d’un baril à 60 dollars. Ce qui va lui permettre d’assurer l’équilibre de ses finances, d’engranger vraisemblablement des recettes substantielles, cette année encore et renflouer le Fonds de régulation des recettes qui lui sert de pare-feu.
Source: L’Expression.
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