La prévention et la lutte contre les stupéfiants constituent une préoccupation majeure pour les pouvoirs publics, en raison de leurs effets négatifs sur la santé publique et la société. Depuis 2004, une loi est consacrée à ce sujet, mais son application a révélé plusieurs insuffisances et lacunes juridiques. Pour combler ces carences, un arrêté a été publié au Journal officiel N°37 le 5 juin 2004, modifiant et complétant l’arrêté du 27 Rajab 1443 (28 février 2022) concernant la classification des plantes et substances classées comme stupéfiants, psychotropes ou précurseurs.
Selon cette nouvelle décision, le ministère de la Santé a introduit une nouvelle classification nationale incluant trois médicaments dans la liste des substances psychotropes. Ces substances sont la prégabaline, utilisée pour traiter l’épilepsie, le tramadol, un analgésique, et le trihéxyphenidyl, utilisé pour traiter la maladie de Parkinson. Ces médicaments présentent un risque d’abus, de pharmacodépendance et d’usage détourné, ce qui a justifié leur inclusion dans cette liste stricte.
En conséquence, toute utilisation illégale ou trafic de ces médicaments est désormais passible de peines sévères, pouvant aller jusqu’à 30 ans de prison. Dans le cas où ces infractions sont commises par un groupe criminel, les coupables risquent la réclusion à perpétuité, soulignant ainsi la détermination des autorités à lutter contre ce fléau.
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