Lorsqu’on saisit en main ce pavé de près de 500 pages, en ces temps de consommation hâtive de la lecture, l’on ressent quelques appréhensions à l’ouvrir. mais grand bien cela fait de ses plonger dans ce premier roman de Jamila Rahal, car c’est du plus intime, à travers un texte singulier, entre récit et roman, qu’elle fait voguer le lecteur dans l’histoire de ce qu’ont été les » hdar », une communauté qu’une autre plus récente, celle des « rubains », a noyée dans sa masse et qui, selon l’humeur du moment, l’a fantasmée tant en bien qu’en mal. cette fresque qui, certes, prend son temps , pour se développer, se révèle tout autant attrayante que fort instructive, entraînant le lecteur en fait dans deux histoires qui se chevauchent dans un rugueux corps à corps.
Son roman emprunte les méandres s’un récit choral, alignant une multitude de personnages sur le cours des phases aigues de cette histoire convoquée non pas comme simple toile de fond, mais comme un élément agissant.
Réveil D’Algérie.
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