Il y a de cela plusieurs mois que l’auguste organisation mondiale, en l’occurrence l’Unesco, relevant de l’ONU, avait, après étude et expertise, à ne pas en douter, non complaisantes, de la demande d’inscription au patrimoine universel immatériel de l’humanité du couscous introduite conjointement par les pays du Maghreb, répondu favorablement le 20 décembre 2020.
Hélas, cette belle et importante réalisation qui est loin d’être négligeable, largement relayée par la presse internationale, n’avait pas bénéficié, chez nous comme d’habitude, d’un écho et d’un traitement médiatique à la mesure de cette importante moisson. Pire encore, traitée comme s’il s’agissait d’un simple fait divers, cette réalisation n’a pas été mise à profit pour enclencher et mettre en œuvre un quelconque programme national d’action de développement économique et social articulé autour du magique grain de couscous.
La question que nous sommes en droit de nous poser est la suivante : comment interpréter le fait qu’un dossier d’une telle importance, élaboré minutieusement par des Algériens qui, faut-il le souligner, ont consacré toutes leurs énergies, leurs savoirs et leurs compétences pour le faire aboutir et obtenir avec panache cette l’inscription par l’Unesco, est-il passé sous silence ?
Source: Le Soir d’Algérie.
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