L’enjeu de la modification de l’ordonnance portant code pénal, datant de 1966, est capital. En effet, elle doit prendre en charge l’évolution sociétale de notre pays et les développements enregistrés depuis les années 60.
C’est ainsi que le ministre de la Justice, Garde des sceaux, A. Tabi, a présenté, jeudi, devant la Commission des affaires juridiques, administratives et des libertés de l’Assemblée populaire nationale (APN), le projet de loi modifiant et complétant l’ordonnance n° 66-156 portant Code pénal.
Dans ce cadre, doit-on aller vers plus de peines carcérales ou celles financières, dans les affaires de détournement et de blanchiment d’argent, quelles peines pour la cybercriminalité, faut-il criminaliser l’expression journalistique, comment condamner le trafic et la consommation de drogues, comment protéger les valeurs nationales et notre identité ?
Toutes ces questions et bien d’autres devront être tranchées dans la nouvelle mouture du code pénal. La rédaction
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