La réglementation des changes est dénoncée par les opérateurs économiques et leurs représentations associatives (Anaxl), comme obstacle aux efforts pour la conquête du marché africain notamment.
En effet, le règlement 14-04 du 29 septembre 2014, de la BA constitue le principal obstacle au développement des activités exportatrices dénoncent les opérateurs. Il faut repeller que ce règlement strict, fixe les conditions de transfert des capitaux à l’étranger au titre de l’investissement à l’étranger par tous opérateurs économiques de droit algérien, ce qui signifie que ces derniers nécessitent une autorisation préalable que le Conseil de la monnaie et du crédit leur délivre ou pas.
En plus du temps que cette démarche obligatoire prend, elle est à l’appréciation de fonctionnaires et non de l’opérateur qui prend tout le risque. La libre utilisation des recettes d’exportations par les opérateurs devra être instituée pour leur permettre d’investir pour renforcer leur présence sur les marchés extérieurs et pour couvrir leurs besoins de pénétration, de manière rapide et efficace (force de vente et marketing, réseau de distribution et de transport…).
Il est donc obligatoire de faire tomber ce dernier obstacle pour permettre aux opérateurs d’investir les marché extérieurs et notamment africain.
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