Qui se rappelle de l’AGI (Autorisation globale d’importation) qui sévissait durant des années dans le cadre d’une économie planifiée centralisée et bureaucratique ? Cet instrument avait détruit notre économie par le monopole strict public des importations et créé l’ère des pénuries et de la standardisation des produits importés tels que les véhicules automobile (Zaztava, Honda, Fiat…), les produits alimentaires (banane, œuf, légumes secs, épices…) cédés dans d’autres monopoles publics (Galeries, Souk el fellah, monoprix nationalisés…), les machines-outils et autres pièces détachées. La création d’un Conseil de régulation des importations ressemble à s’y méprendre à cet outil des années de plomb pour l’économie. Espérons donc que l’on va tirer les leçons du passé et introduire des instruments souples et efficaces qui tiennent compte de l’évolution du marché international et que l’on parviendra à détruire les monopoles privés qui se sont construits depuis les années 2000.
La nomination d’un ministre chargé des exportations et la tenue d’un Conseil des ministres consacré aux exportations, montrent l’intérêt des autorités économiques à ce secteur ...
La Banque d’Algérie a promulgueé, dans le Journal officiel n°77, le Règlement n° 24-05 du 13 octobre 2024, une nouvelle modification des sommes en devises que ...
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt visant le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ancien ministre de ...