Six pays ont été autorisés à rejoindre les BRICS à partir de janvier 2024. Il s’agit de l’Arabie saoudite, de l’Iran et des émirats arabes-unis, de l’Egypte, de l’Ethiopie et de l’argentine. D’autres pays pourraient rejoindre le groupe à la prochaine session en 2024. Ce dosage subtil combine à la fois des critères économique, politique et géopolitique. Trois pays grands producteurs et exportateurs d’énergie du Golf (L’Iran, l’Arabie saoudite et les EAU), deux pays africains (l’Egypte et l’Ethiopie) économiquement et démographiquement important et enfin un pays représentant l’Amérique Latine (l’Argentine) renforçant la représentativité du sous-continent latino-américain. Ainsi, le groupe des BRICS passe de cinq à onze membres, alors qu’une vingtaine de pays avaient émis le vœux d’y adhérer dont l’Algérie. La géopolitique et l’économique ont été à l’origine de cette décision d’élargissement mais également les équilibres internes au groupe, entre les membres qui sont dans une logique de confrontation avec les membres du G7 (Russie et Chine) et ceux qui prônent la complémentarité avec lui (L’Inde et le Brésil). Cet élargissement rééquilibre les deux camps avec des pays comme l’Arabis saoudite, les EAU, l’Egypte et l’Argentine qui vont pousser à la complémentarité, alors que l’Iran et l’Ethiopie qui s’engagent résolument vers la confrontation. Ce qui est certain c’est que le groupe des BRICS augmente considérablement son poids relatif dans l’économie mondiale (PIB, commerce international, industrie).
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt visant le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ancien ministre de ...
Le Représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations unies, Amar Bendjama, a exprimé son profond regret après l’échec du Conseil de sécurité à adopter un ...
L’Algérie a appelé, lundi 18 novembre , la communauté internationale à respecter la souveraineté et l’intégrité territoriale du Soudan, tout en exigeant une condamnation ferme ...