Apres « Winna », Arezki Larbi, plasticien, décorateur-scénographe pour le théâtre et le cinéma, vient de réaliser son deuxième court métrage appelé » Le chant de la sirène ». Au premier abord, les deux principaux personnages nous font penser à « Le vieil homme et la mer », le roman d’Hemingway et » La petite sirène » de Hans Christian Anderson.
L’histoire est celle d’un pécheur appelé Adem qui vit seul dans une maison où l’on peut distinguer plein d’objets accrochés ça et la en relation avec la mer, mais aussi de tableaux, de vieux portraits féminins dans sa chambre à coucher. Adem campé admirablement par Rachid Hadid est un solitaire qui un jour se retrouve en panne de moteur, fatigué il décide de dormir, à son réveil, regarde au loin quelque chose sur une île. Une petite maison, il est décidé à réparer sa barque pour aller inspecter les lieux sur place, en attendant, Adem, ne fait qu’épier cet endroit de ses jumelles. Un jour, en débarquant dans cette maison, il tombe sur une sirène.
Un 2change s’ensuit entre eux, mais la sirène ne semble pas bien saisir tout ce que dit l’Auteur sur le monde, intrigué et séduit, ce dernier finit par tomber amoureux de cette créature.
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