Le calvaire. C’est ce qu’ont vécu les quartiers de Dar Djebel, Ihadadhen, Targa Ouzemmour…Privés d’eau pendant plusieurs jours, leurs habitants ont espéré que ce supplice allait prendre fin le jour de l’Aïd. Surtout que ce liquide précieux était indispensable pour satisfaire aux conditions de nettoyage et d’hygiène de ce rituel. Les robinets sont restés à sec. Il ne leur restait plus qu’à faire contre mauvaise fortune bon coeur malgré les promesses du ministère de l’hydraulique qui avait assuré que l’eau serait disponible le jour du sacrifice du mouton. Ce qui ne fut pas le cas dans certaines zones de la capitale des Hammadites qui, en plus de ce problème, croulent sous des tonnes d’ordures au vu et au su de ceux qui ont mission de gérer les affaires de la cité. C’est le cas de l’université. Sur le mur adossé à ce haut lieu du savoir, il s’est érigé un dépotoir sauvage, une décharge qui a fini par être validée, actée par les responsables locaux chargés de l’hygiène sans que personne ou presque ne s’en offusque.
Source: L’expression.
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