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Des Algériens privés de leurs droits se retrouvent sans passeports en France
L’absence de la pièce d’identité prive ces jeunes Algériens d’obtenir leurs droits minimaux, à l’image d’ouvrir un compte bancaire sur lequel ils reçoivent leurs salaires, et l’incapacité de conclure aucun acte, comme l’acte de mariage

En effet ,chaque année que dieu le sait, un bon nombre de jeunes Algériens quittent le territoire national pour regagner l’Europe, et ce, pour de nombreuses raisons, dont le plus importante consiste à la recherche d’un avenir meilleur.
Ces derniers qui tentent le traversée pour chercher une vie meilleure autre part, se trouvent affronter à un nombre infini de problèmes, à cause de le privation de leurs documents d’identité.A cet effet, le député de l’émigration et membre de le commission des affaires étrangères, abdelouahab yagoubi en l’occurrence, a publié aujourd’hui matin, dans un post sur sa page facebook, qu’il a assemblé, hier 08 septembre, de nombreux algériens qui on quitté le pays pour de nombreuses raisons et dans des circonstances difficiles. Cette assemblée, tenue jusqu’à minuit dans un restaurant à Paris, avait pour objectif de préciser exactement leurs problèmes et d’essayer de les résoudre, selon le parlementaire.
Ces algériens son privés de leurs droits
Ces ressortissants souffrent de refus de leur droit d’obtenir les documents d’identité algériens sous prétexte de leur statut illégal, contrairement à toutes les autres nationalités qui obtiennent facilement leurs passeports sans l’exigence de règlement de leur statut dans les pays de résidence « , écrit yagoubi.
Il ajoute que l’absence de le pièce d’identité prive ces personnes d’obtenir leurs droits minimaux, à l’image d’ouvrir un compte bancaire sur lequel elles reçoivent leurs salaires, et l’incapacité de conclure aucun acte, comme l’acte de mariage et etc, ajoute le député.
» nous avons commencé à faire part de cette préoccupation aux autorités compétentes, et nous espérons parvenir à une résolution de cette situation, qui n’a aucune base législative ou légale explicite « , indique abdelouahab yagoubi.
MH