Le bon journalisme n’a pas besoin d’être sauvé. Il est en plein essor.

«Aujourd’hui, on nous dit que ce sont les géants de la technologie qui nous détruisent. Les lecteurs veulent tout avoir gratuitement, nous devons utiliser des attrape-clics, c’est une course vers le bas. Sauf que ce n’est pas vrai», a-t-il déclaré.
«Le bon journalisme n’a pas besoin d’être sauvé. Il est en plein essor. C’est un âge d’or du journalisme sérieux. Il s’étend à l’audio et au visuel et atteint de nouveaux publics. Quand des jeunes me demandent s’ils doivent se lancer dans le journalisme, je leur réponds que c’est le moment idéal», a-t-il ajouté, lors du Web Summit, la plus grande conférence technologique d’Europe, tenue dernièrement à Lisbonne, au Portugal.Selon un Britannique, nous vivons, au contraire, à «l’âge d’or» du journalisme.
Ce Britannique «optimiste» est John Witherow, éditeur et rédacteur en chef du quotidien britannique The Times et ancien journaliste de Reuters.
MH
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