Activités commerciales aux frontières algéro-tunisiennes.

La dernière réunion algéro-tunisienne a mis en exergue le problème du commerce transfrontalier. En effet, la différence entre les prix relatifs, des deux côtés de la frontière, est significative et permet des gains substantiels pour les populations qui vivent dans la région la plus déshéritée de la Tunisie. Faut-il pour autant fermer les yeux sur ce trafic et ses conséquences sur le niveau des subventions affectées au soutien des pris dans notre pays ? Certains pensent que l’on doit être moins « intransigeants » dans les contrôles douaniers et permettre un niveau de « trafic supportable » ! D’autres préfèrent ouvrir des zones franches pour canaliser ce mouvement commercial. Bref, il est évident que la partie tunisienne souhaite que le commerce aux frontières soit « libre » pour permettre à leurs concitoyens de vivre de cette activité à la limite de la légalité voire prohibée. L’Algérie acceptera-t-elle ce « deal politique » et à quel niveau pour certains produits subventionnés, comme les denrées alimentaires, les carburants et autres produits sous pression ? A suivre !
Hier mardi 17 juin, l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (ALNAFT) a rendu public l’octroi de licences dans le cadre de l’appel ...
Depuis janvier 2025, le ministère de l’Industrie multiplie les rencontres avec des constructeurs automobiles étrangers. Ces discussions visent à relancer la fabrication de véhicules en ...
Le secteur de la pétrochimie algérien s’apprête à franchir un nouveau cap avec le lancement de plusieurs projets industriels d’envergure, représentant un investissement global estimé ...