Ces dernières averses ont montré la limite des travaux faits en matière de cadre urbain essentiellement au chapitre de la gestion des eaux pluviales. Pourtant, la culture ancestrale représente le meilleur exemple à suivre outre les moyens colossaux engagés par l’Etat pour éviter aux citoyens ces désagréments. La journée de jeudi a eu les averses les plus accrues. Des pluies qui ont engendré le ralentissement de plusieurs axes routiers. En l’espace de quelques heures seulement, les routes ont pris les allures de rivières torrentielles en furie. Une situation qui a engendré le ralentissement voire l’arrêt total de la circulation automobile. Des embouteillages monstres ont été constatés sur d’autres axes routiers qui ont reçu la totalité des eaux tombées à cause de l’état des avaloirs et des voies d’évacuation des eaux de manière générale.
En fait, ce constat pose l’épineuse question des travaux effectués par les entreprises au niveau des centres urbains et des routes. Ce chapitre concerné par les enveloppes budgétaires se trouve être le dernier à recueillir l’intérêt à la réception des projets. Toutes les enveloppes consenties pour ce chapitre s’avèrent être inutiles aux premières pluies torrentielles.
Source: L’Expression.
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