Les étudiants en sciences médicales ont entamé, depuis hier mercredi 16 octobre, une grève générale ponctuée par des sit-in, à travers plusieurs universités d’Algérie.
Les principales universités d’Algérie ont été témoins d’une grève générale des étudiants en médecine, qui a conduit à la paralysie complète de nombreux collèges et hôpitaux universitaires, dans une situation qui, selon les étudiants, résume des années de tension et en raison d’un taux de chômage élevé et de conditions de pratique difficiles.
Cette grève, intervient après des semaines de préparation et de coordination entre les différentes branches universitaires, et représente une escalade de la crise à laquelle sont confrontées les facultés de médecine en Algérie
Des slogans de colère ont été lancés dans les grandes universités incluant des spécialités médicales, comme dans la capitale, Blida, Oran, Sidi Bel Abbès, Béjaia et d’autres villes, tels que : « Le médecin ne doit pas être humilié », « Nos droits sont abrogés », « Il est même interdit au médecin de démissionner », et « nous revendiquons nos droits ». En matière de documentation, ce qui reflète selon eux « la détérioration de leurs conditions académiques et professionnelles ».Les étudiants, tout en exprimant leur mécontentement, ont toutefois salué les efforts entrepris par le gouvernement pour moderniser le secteur de la santé.
Cependant, ils jugent que ces initiatives restent insuffisantes face à la gravité de la situation.
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