Une équipe de chercheurs de l’Université de Princeton a développé un nouveau type d’antenne qui fonctionne sur la base de l’idée de l’origami, qu’ils appellent la « bombe à eau ».
Conçu comme une boîte en papier pliée, le réseau de changement de forme permet aux ingénieurs de créer une surface d’imagerie radar reconfigurable et adaptable.
Les réseaux d’antennes avancés associés à des puces sans fil haute fréquence agissent comme les superpuissances de l’électronique moderne, améliorant tout, de la détection à la sécurité en passant par le traitement des données. Le scientifique Kaushik Sengupta travaille à étendre encore plus ces pouvoirs.
Le système « origami » offre une résolution plus large et a la capacité de capturer des scènes 3D complexes au-delà de la capacité d’un réseau d’antennes standard.
Pour construire le système, les membres de l’équipe ont monté une nouvelle classe d’antennes à large bande sur des écrans plats standard, puis ont fixé un certain nombre de panneaux d’antenne à une surface origami soigneusement conçue dans un motif en damier.
Avec cette capacité à se transformer et à se développer, le système Origami offre une résolution plus large et a la capacité de capturer des scènes 3D complexes au-delà de la capacité d’un réseau d’antennes standard.
L’antenne « bombe à eau » peut également changer de forme pour gérer les ondes électromagnétiques de manière soigneusement calibrée.Combiné à des algorithmes avancés, le système peut traiter efficacement les informations d’une large gamme de champs électromagnétiques, permettant aux ingénieurs d’étendre les capacités des appareils utilisés pour détection et imagerie.
Cette technologie peut grandement améliorer la technologie des capteurs nécessaires aux véhicules autonomes, aux robots et aux systèmes du cyberespace.
La « bombe à eau »… un système d’antenne futuriste basé sur l’idée de « l’origami »
Volvo utilise des caméras et des capteurs dans ses voitures pour surveiller les conducteurs
Sengupta a confirmé que les matrices basées sur l’origami pourraient améliorer considérablement la technologie des capteurs nécessaires aux véhicules autonomes, aux robots et aux systèmes du cyberespace.
Le 6ème Colloque international sur le « Génie électrique et les systèmes de contrôle » s’est ouvert ce mardi 19 novembre 2924, à l’Université Abbès Laghrour de ...
AFRIPOL et la société de cybersécurité Kaspersky ont officialisé leur partenariat le 17 novembre 2024, au siège d’AFRIPOL à Alger, dans le but de renforcer ...
Du 3 au 5 décembre 2024, la 6e édition du Salon Secura North Africa réunira experts et entreprises à la Safex pour explorer les dernières ...