« Nous voulons démystifier l’utilisation des techniques de l’ingénierie inversée en appropriant des technologies et des outils performants afin de booster l’innovation et de participer à la création de postes d’emploi », a déclaré le directeur général de l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (ANVREDET), Nadjib Derriche.
Intervenant à l’ouverture du séminaire national intitulé « le reverse engineering au service de l’innovation et du développement du contenu local », le même responsable a précisé que l’objectif de cette rencontre est de « créer la liaison entre le tissu socio-économique et le monde de la recherche scientifique », citant, entre autres techniques, celle de l’imprimante 3D, laquelle a servi durant la crise du Coronavirus à la fabrication d’un type de masque de protection.
APS.