Les guerres ont toujours été un formidable laboratoire d’essai de toutes les innovations en matière d’industrie de l’armement. Les pires engins de mort individuels et collectifs, ont été testés durant les conflits régionaux et internationaux (gaz moutarde, napalm, arme à sous munition, nucléaire…) pour constater leur « efficacité », sur le terrain et en temps réel.
C’est encore le cas dans le conflit ukrainien, où une arme aérienne particulière est entrain de révolutionnée l’art de la guerre… il s’agit des drones ! En effet, cette arme, introduite parcimonieusement dès le début du conflit, a montré et démontré son efficacité, dans ce conflit, sans que l’on s’y attendait, tant est si bien que les puissances mondiales productrices d’armements se sont toutes mises à en fabriquer ou en importer suivant leur position vis-à -vis de cette arme. De petite dimension (quelques centimètres) ou de taille d’un avion, toute la gamme est testée avec plus ou moins de résultats dans ce conflit aux multiples facettes. Leur coût, la multiplicité des missions (attaques, reconnaissance, brouillage électronique, guidage, soutien à l’artillerie, kamikaze …), leur flexibilité, les pertes humaines quasi nulles, ont obligé tous les états-majors du monde, à introduire les drones dans la panoplie des armes à utiliser dans leur stratégie. Les pays les plus avancés technologiquement mettent les bouchées doubles pour en produire et en vendre et ceux en retard tentent de rattraper leur handicap par un financement massif dans la recherche développement de cette arme.
L’art de la guerre ne sera plus comme avant, après le conflit ukrainien depuis l’introduction de cette arme, qui a pour caractéristique essentielle, pour l’instant, de ne pas avoir contre elle des missiles capables de la détecter et de la détruire sauf à utiliser en masse des missiles très coûteux et pas toujours efficaces. Il est clair que cette situation ne peut pas durer et qu’une riposte efficace sera trouvée d’ici quelques années comme pour les autres armes nouvellement découvertes et utilisées. Mais pour l’instant le drone a encore des « beaux jours » dans le conflit et fait l’objet d’une préoccupation permanente de toutes les armées au monde.
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